juin 30, 2022

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Temps de lecture en buvant une tasse de thé : 2 min

Je suis descendue prendre une tasse de thé. Je reconnais votre voix derrière moi. Je tourne la tête, il est tôt, mon corps n’est pas encore bien réveillé mais vous voir provoque un arc électrique de la base de ma nuque au bas de mon dos. Vous faites visiter les lieux à ce groupe d’hommes en costard. 

J’ai chaud, je sens les battements de mon cœur résonner dans le bas de mon ventre.

Nos regards ne se croisent pas. 

Je remonte avec mon thé brûlant.

Je m’enferme dans les toilettes. Déboutonne mon jean et glisse la main dans mon entrejambe. 

La chaleur de mon thé n’est rien, comparée à ce qu’il se passe entre mes cuisses.

Je glisse mes doigts entre mes lèvres, caresse doucement mon clitoris avec un doigt, j’en ajoute un deuxième pour appuyer plus fort. Je vous ai, vous et le groupe, dans la tête. J’appuie plus fort, j’accélère la cadence. Je ne veux pas jouir, je veux garder cet état.

Je sors mes doigts, déboutonne mon jean et retourne face à mon ordinateur. 

Mon thé est définitivement moins brûlant que moi.

Il est 19h, les bureaux sont désertés. Je suis pressée de rentrer chez moi finir ce que j’ai commencé tout à l’heure, mon excitation n’est pas redescendue. Je range mes affaires et appelle l’ascenseur. 

La porte s’ouvre sur vous et deux des hommes présents tout à l’heure. 

Vous avez votre petit sourire ravageur. Ça cogne à nouveau dans le bas de mon ventre. Vous m’invitez à descendre avec vous au sous-sol, vous pouvez me déposer chez moi, j’habite sur votre route.

Vous prenez congé de vos invités qui regagnent leurs voitures.

Vous attrapez fermement mes cheveux, et me dirigez vers votre voiture. Face à elle, vous m’ordonnez de baisser mon jean et de me caresser. Je m’exécute. Je pousse un gémissement qui ne vous plaît pas. Vous attrapez un de mes tétons pendant que l’autre main continue de maintenir fermement ma tête.

Quelqu’un tousse derrière nous. Un des hommes n’est pas parti. Il a ce regard lubrique mais bienveillant de ceux qui savent. Vous lui souriez, me regardez, je vous souris à mon tour. Vous ouvrez la portière et m’ordonnez de monter à l’arrière.

Vous montez, accompagné.

Vous faites sortir mes seins de mon décolleté et les offrez à votre invité. Il les caresse du bout des doigts, observe son offrande avant de les prendre fermement en main. Il accepte votre cadeau.

J’enlève mon jean. A genoux sur la banquette, vous d’un côté et lui de l’autre, je lui offre mes seins, vous avez mon cul. Première fessée de vous, Monsieur, puis caresses et baisers sur ma poitrine. Deuxième fessée, il mange goulûment mes petits globes. Je sens vos doigts entrer en moi Monsieur, je mouille abondamment.

Je gémis.

Il défait sa ceinture. Je tourne la tête vers vous. J’ai votre approbation pour le sucer. Je m’applique à manger sa bite aussi goulûment qu’il mangeait mes seins.

Vous alternez fessées et caresses. 

Vous enfoncez vos doigts de plus en plus nombreux au fond de moi. J’ai chaud, je pousse des cris étouffés par la bite que j’ai dans la bouche.

Il veut me prendre.

Je me retourne. A quatre pattes je le laisse enfiler un préservatif et entrer sa bite en moi.

Face à vous je prends mon pied.

Vous attrapez mon visage, puis pincez mes seins.

Je veux la vôtre, je la veux dans ma bouche.

Vous me la faites sentir à travers votre pantalon. Elle est là, toute proche, dure.

Je vous veux vous, en moi. Mais c’est lui qui me prend.

Je vais jouir. Vous pincez fort mes tétons, je crie. Vous m’ordonnez de me taire. Ses vas-et-viens se font plus profonds et plus saccadés.

L’orgasme monte et explose en moi.

J’ouvre les yeux, je me tourne vers vous. 

Vous avez votre petit sourire.

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