Izae a suivi le programme Libidoboost et a accepté de te partager son expérience et son fantasme !
Je te laisse avec elle qui était comme moi il y a trois ans, comme toi aujourd’hui, pleine d’envie sans oser passer à l’action.
A l’heure ou j’écris cet article je sais qu’elle est là même avec ce petit truc en plus qui fait toute la différence : elle a repris le contrôle sur sa sexualité. Et attention, c’est détonnant !
« Salut toi, moi c’est Izae,
On ne se connait pas encore mais ne t’inquiète pas, je vais vite me mettre à nu.
En attendant, sache qu’on est pareil toi et moi : toutes les semaines on attend avec impatience de recevoir une certaine newsletter, de lire certaines histoires, de s’imaginer certaines choses… Toutes les semaines, guidés par Esmée, on attend avec impatience notre dose d’érotisme et de fantasmes.
Et si je prends la plume aujourd’hui c’est pour te partager quelque chose d’incroyable, quelque chose que je n’aurais jamais cru possible : mon fantasme à moi !
Pendant plusieurs mois, Esmée m’a accompagnée pour me connecter à ma sexualité rêvée, pour me montrer comment surmonter les obstacles que je mettais moi-même à mon épanouissement sexuel, pour apprivoiser la bête qui sommeillait en moi et qui ne demandait qu’à s’exprimer.
Coachée par Esmée, j’ai appris à mieux me connaître, et surtout, j’ai vécu plein d’aventures follement excitantes. Des aventures dont je rêvais depuis longtemps, mais que je n’aurais jamais eu le courage de vivre autrement que dans mes rêves si je n’avais pas été poussée et guidée.
Et maintenant que le fauve est lâché, il faut le nourrir. Si Esmée est une lionne, je suis plutôt une louve, et crois-moi, quand les carnassières sont de sortie, elles ne rentrent qu’une fois leur faim assouvie… J’espère que ce premier festin d’Izae te plaira, parce que moi, j’en ai savouré chaque seconde ! »
Aujourd’hui c’est mon anniversaire et un de mes amants m’a concocté un programme spécial. Je n’ai qu’une adresse et un horaire sur un bout de papier mais je devine ce qui m’attend et j’en frémis d’avance.
J’arrive au lieu de rendez-vous, décontractée mais impatiente, et découvre un salon chaleureux où sont nonchalamment installés trois hommes. Baskets, t-shirt, l’ambiance est bon enfant, je ne jure pas avec mon jean et ma chemise trop large. De toute façon, mon amant m’a prévenue : puisque c’est mon anniversaire, c’est lui qui m’habille ! Je pose ma veste en vrac sur une chaise et inspecte mes compagnons : le premier, c’est facile, c’est mon amant. Je reconnais également le deuxième, que j’ai croisé dans plusieurs clubs, c’est un nerveux qui, à ce qu’on dit, ne fait pas dans la tendresse, et ça m’excite rien que d’y penser. Je ne connais pas le troisième et ce qui me frappe avant tout chez lui, c’est son immense sourire et ses adorables fossettes. Pour faire simple, appelons mon amant « Le Bon », les deux autres, « la Brute » et « le Truand ».
Le Bon ramène de la pièce d’à côté de la lingerie fine puis va se rassoir dans le canapé, me signifiant qu’il n’a pas l’intention de participer activement à la suite. Il préfère regarder. Il ne s’est pas moqué de moi sur la lingerie et la séance de déshabillage commence. Le Truand s’est approché et de sa main, il effleure mes cheveux, mon visage, ma nuque, mes seins, mon ventre. Il plante son regard dans le mien et entreprend de dénouer ma ceinture et de déboutonner mon jean, qu’il laisse choir à mes pieds. Sa main remonte le long de mon ventre et ses doigts se referment délicatement mais fermement autour de mon cou. La pression monte et mon rythme cardiaque s’affole déjà, à cause des scènes de sexe hard que je commence à m’imaginer. Je sens mon cœur tambouriner dans ma chatte.
La Brute est dans mon dos et défait les boutons de ma chemise à gestes vifs et impatients. Il arrache presque les derniers boutons et je ris de son empressement. Il ne me reste plus que ma culotte, que le Truand fait doucement glisser le long de mes jambes, s’accroupissant devant moi au passage. Il embrasse langoureusement le haut de ma vulve, mais retire ses lèvres presque aussitôt et je gémis de frustration. Celui-là sait comment s’y prendre pour m’exciter et je n’ai pas besoin de me toucher pour savoir à quel point je mouille !
On passe à la deuxième étape : la Brute pioche dans la pile de lingerie des bas noirs qu’il m’aide à enfiler, toujours brusque mais précautionneux, et il en profite pour caresser mes jambes. Le voir à genoux devant moi a raison de ma bienséance : j’attrape sa tignasse et tire sauvagement son visage vers mon sexe. Il ne résiste pas et entreprend de me lécher consciencieusement. Je soupire de contentement et l’empêche de changer d’avis d’une poigne ferme, pendant que le Truand me passe une ravissante guêpière en dentelle qu’il attache aux bas d’une main experte. Ainsi apprêtée, je me sens tellement puissante, je suis tellement sûre de moi ! Un frisson d’excitation naît dans le creux de mes reins et remonte le long de ma colonne, en écho aux tremblements nerveux de ma chatte et de tout mon corps. J’ai toutes les peines du monde à ne pas me jeter sur eux, à ne pas me mettre à les sucer rageusement.
Dans la pile de lingerie, il reste encore un magnifique soutient gorge, un kimono transparent et d’autres accessoires à m’enfiler mais nous sommes tous les trois à bout de patience. La Brute sort la langue de ma chatte et se redresse. Il me soulève et me porte comme une princesse vers la chambre avant de me jeter rudement sur le lit, pendant que le Truand nous rejoint tranquillement et que le Bon va se poser dans un coin de la pièce, toujours spectateur. Je les regarde un instant tous les trois et souris, toute à mon bonheur : trois hommes à ma disposition, avec pour seul et unique but mon plaisir, quel luxe !
Je m’allonge sur le dos et écarte ostensiblement les jambes. Le Truand s’est déshabillé et approche son sexe du mien. Je secoue la tête en signe de dénégation. Imperturbable, il penche sa tête au-dessus de mon sexe. Nouvelle dénégation. Il rigole et insère deux doigts dans ma chatte déjà toute lubrifiée. Il comprend à mon gémissement qu’il a vu juste cette-fois-ci. Il commence à explorer l’intérieur de mon vagin, doucement d’abord, mais il comprend vite qu’il n’est pas nécessaire de faire dans la dentelle avec moi. Il s’agenouille sur le lit pour être plus stable et commence des va et vient puissants et rapide avec ses doigts. Je gémis puis un cri m’échappe quand il recourbe ses doigts pour stimuler mon point G.
Pendant ce temps, la Brute a sorti sa bite de son pantalon et l’offre à ma bouche qui la goute avec délectation. Je ne fais pas de manières et la gobe entièrement avant de remonter m’occuper de son gland. Ma langue l’explore de bout en bout, s’arrêtant plus longuement sur son frein, puis, de nouveau, je l’enfonce tout entière jusqu’au fond de ma gorge. Il bloque ma tête avec ses deux mains pour m’empêcher de repartir et me baise la bouche, salement. La Brute porte bien son nom. J’en redemande, il s’exécute, grognant de satisfaction. Au bout d’un moment, il finit quand même par me laisser reprendre mon souffle puis m’embrasse avec une grande douceur, qui me surprend, en caressant mon visage.
Je profite de ce moment d’accalmie pour me concentrer sur mes sensations. Le Truand continue de me doigter avec acharnement pendant que les caresses sur mon visage et mon cou me détendent. Je ferme les yeux et rentre en moi-même. Je suis aux anges. C’est comme si j’étais soudain seule dans la pièce : plus rien n’existe autour de moi que le plaisir, intense, qui part de ma chatte et irradie tout mon corps, tout mon être. Mes muscles se relâchent à mesure que je me concentre et c’est comme si je me résumais tout entière à mon vagin et aux va-et-vient puissants des doigts qui le pénètrent. Ma respiration est anarchique et le plaisir occupe tout mon esprit. Et puis je sens une vague de chaleur venir du plus profond de moi, elle est à deux doigts – c’est le cas de le dire – de rompre toute les digues et de me submerger entièrement. J’hésite un instant puis, d’un coup, je ferme les cuisses : il est trop tôt pour jouir, je veux jouer encore, longtemps.
Allongée sur le dos, je m’accorde quelques instants de répit, tout sourire, essoufflée mais toujours prête à en découdre. Et puis, quand mon cœur a retrouvé un rythme à peu près normal, je me mets à quatre pattes et me retourne vers le Truand que j’embrasse à pleine bouche, présentant ma chatte à l’autre, qui ne tarde pas à me pénétrer, aussi salement qu’il l’avait fait pour ma bouche. Agrippé à mes hanches, ses coups de reins sont amples et forts, sans aucune délicatesse. Je pousse un cri rauque et lui demande d’y aller encore plus fort. Un court instant, je croise le regard de mon amant qui se branle mais je n’ai pas le temps de m’y attarder, le Truand a rassemblé mes cheveux en une queue de cheval et en profite pour diriger mon visage vers sa bite. Il joue avec moi, baladant son sexe sur mon visage, me tapotant les joues avec. Je grogne de frustration mais il continue de s’amuser, me faisant gouter ses couilles. Au bout d’un moment, il finit malgré tout par se lasser – ou par avoir pitié de moi – et me présente sa bite que je commence à sucer avidement. Mais l’autre me donne tant de plaisir que j’ai du mal à me concentrer. Il n’insiste pas et commence à se branler. Nos regards s’agrippent de nouveau et ne se lâchent plus. Il a toujours la main sur mes cheveux. Je sens de nouveau mes lèvres s’étirer en un grand et large sourire, qu’il me rend. Quel dommage qu’on ne fête les anniversaires qu’une fois par an !
Après quelques minutes de levrette intense, la Brute retire subitement son sexe du mien, enlève en vitesse la capote et éjacule copieusement sur mon dos. Je ne quitte pas le Truand des yeux, sachant que lui aussi est au bord du gouffre. Quand il ne peut plus se retenir il écarte ma tête et jouit également sur mon dos, avec force gémissements. Je ne peux pas voir dans cette position mais je sens le liquide chaud couler dans le creux de ma cambrure. Je savoure ma victoire : deux-zéro pour moi !
Une fois remis de leurs émotions mes étalons me nettoient avec application et douceur. Je me remets sur le dos et fixe le Bon qui accepte mon invitation et me rejoint sur le lit. Il embrasse mon corps, me caresse, joue avec mes seins, il prend le temps de me refaire monter en pression… puis, doucement, il dirige ses mains vers ma vulve et me doigte avec dextérité. Il me connait bien, il sait ce qui me plait et cette fois-ci, je ne me retiens pas alors il ne lui faut pas plus de 5 minutes pour me faire venir. Quand la vague de plaisir arrive sur moi, je cède totalement. Je laisse la chaleur de l’orgasme submerger tout mon corps, faire sauter toutes les digues, je m’y abandonne avec joie, les muscles totalement relâchés, la conscience vacillante. Je crie sans aucune retenue, j’offre mon plaisir brut et sans fard à mes trois amants qui s’en délèctent. Mes yeux hagards rencontrent ceux de la Brute, que j’ai peu regardé jusqu’ici, et la satisfaction que j’y lis décuple encore mon plaisir. Je sens des soubresauts secouer mon corps, puis le tsunami s’apaise tandis que mon amant continue de m’embrasser et me susurre des mots doux à l’oreille, le temps que je retrouve mes esprits. La Brute et le Truand nous rejoignent aussi sur le lit et tous trois me caressent délicatement : les cheveux, le cou, les seins, le ventre, les jambes, les bras… j’y passe tout entière, savourant le calme après la tempête.
Quand je suis de nouveau capable de me lever, ils me ramènent vers le salon et me servent à boire. Il faut reprendre des forces, après tout, ça, c’était l’échauffement. L’après-midi est à peine entamé et il nous reste bien des jeux à essayer…
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